Ma très chère belle sœur. Qui aurait prédit, il y a dix ans, que tu finirais par te marier avec mon frère. Pas moi en tout cas. Pas quand je venais te voir dans ton échoppe, un large sourire aux lèvres parce que je sentais quelque chose en toi qui s’éveillait quand tu posais les yeux sur moi. Mais ces choses-là ne durent pas, je t’avais pris pour acquise avant que ce ne soit le charme irresistible de mon frère qui ne t’ai conquise. Peut-être est-ce un mal pour moi, en tout cas j’en suis certain, c’est un grand bien pour mon frère. Vous allez bien ensemble et vous commencez à agrandir votre foyer. Je suis content de toujours en faire parti…