Dorian Jenkins

Débrouillard
Curieux
Altruiste
Impulsif
Juste
Trop franc
Optimiste
Rebelle

Caractère et Physique

Physiquement ? Je ne me suis jamais considéré comme quelqu'un de magnifique ou de facilement remarquable par un physique avantageux. Je suis plutôt maigre, enfin clairement pas monsieur muscle quoi. Mon dernier diagnostic médical indiquait que je mesure 1 mètre 78 et que je pèse dans les 68 kg. Pourtant ça ne fait pas de moi quelqu'un de faible ou impuissant. Il m'est déjà arrivé de me faire gentiment taquiné par d'autres garçons plus musclés par mon poids, mais je garde d'autres qualités physiques en réserve ! Par exemple, la vitesse. Évitez de me défier au 100 mètres sprint sinon vous risquerez de vite voir le résultat ! L'agilité aussi, est un de mes points forts. Pourquoi s'embêter à demander à un gros poids de 2 mètres d'escalader un arbre quand je suis là ?

Mentalement parlant, c'est autre chose. Les gens qui m'ont côtoyé, que ce soit avant ou aujourd'hui, m'ont souvent répété que j'étais drôle. Mais drôle sans le vouloir, avec des réflexions, ou juste ma franchise. Elle peut en énerver certains, mais faire rire ceux qui n'en sont pas concerné. J'ai tendance à dire ce que je pense si c'est nécessaire, voire même quand ça ne l'est pas vraiment.

Il arrive aussi que l'on me décrive comme quelqu'un de téméraire, genre courageux mais un peu trop. En général quand je veux faire quelque chose, je le fais, sans vraiment me préoccuper des conséquences que cela peut avoir. Et pour en rajouter encore plus, on dit que je suis têtu, ce qui n'est pas entièrement faux. Dans des situations délicates j'ai tendance à "oublier" des ordres et à écouter mon instinct plutôt que les autres. Après, mon côté débrouillard peut nous sortir de pas mal de pépins, mais les supérieurs n'ont jamais aimé les rebelles, ce n'est pas nouveau.

Pour finir, j'essaye de me rendre le plus disponible possible. Si quelqu'un a besoin d'un coup de main je serais toujours là pour aider. Il m'est arrivé d'entendre que j'en fais peut être un peu trop et que je devrais me préoccuper de moi-même avant les autres. C'est quelque chose de naturel, je préfère faire passer les autres avant moi, s'ils le méritent tout de même ...
J'essaye aussi de voir les choses du bon côté, de rester optimiste dans les temps les plus sombres. De voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide par exemple.  C'est bien d'avoir des gens comme ça de temps en temps, ça permet de tenir le coup et de ne pas abandonner.

| 22 ans - Exodiens - Apprenti soldat|

Mon histoire :

En apparence, je suis né il y a 22 ans. En réalité, mon existence est bien plus ancienne. J'ai grandi jusqu'à mes 5 ans dans un orphelinat. Je n'ai jamais su qui étaient mes vrais parents, on ne me l'a jamais dit. En réalité, j'étais trop jeune pour m'en préoccuper et pour même penser à poser la question. J'ai été recueilli par un couple de trentenaires dont le père était stérile et voulant absolument un fils pour agrandir leur petite famille. A ce qui parait ils m'ont choisi parce que j'avais de jolis yeux. Pourtant quand je me regarde dans un miroir, tout ce que je vois, c'est deux gros yeux marrons sur mon visage. Ils brillent certes un peu au soleil, mais ils n'ont rien de très spécial. Pourtant, y'avais des gosses avec des yeux verts, des bleus, des fois même les deux en même temps, mais ils m'ont choisi moi. Bref passons, j'ai réussi à quitter ce trou pourri, c'est l'essentiel.

J'ai toujours été passionné par l'espace, un peu comme tous les gamins de mon âge à vrai dire. Dans les classes, il y en avait toujours un qui voulait devenir astronaute. Dans ma classe c'était moi. Durant les rares fois où l'on avait l'occasion de partir en vacances chez mes grands-parents dans la campagne anglaise, je passais une grande partie de mes nuits à observer les étoiles avec le télescope de mon grand-père. Pendant plusieurs années, j'y ai vu des dizaines d'étoiles filantes, observé plusieurs constellations d'étoiles, et même quelques planètes.

Le reste du temps, j'habitais dans un petit appartement au milieu de la capitale. Mes parents étaient plutôt aisés, je n'ai jamais eu à me plaindre. Un père professeur, une mère avocate. Et quand ils n'étaient pas là, c'était mon oncle qui s'occupait de moi.
Le problème avec mes parents, c'est que justement, ils n'étaient pas souvent là pour moi. Et que forcément, l'adolescence n'a pas vraiment arrangé les choses. J'étais plutôt rebelle sur les bords, et les moments où l'on se trouvait des accords communs étaient rares. Pour combler leur manque, je passais du temps avec quelques amis, sinon je restais seul.

Mes professeurs me disaient que j'avais du talent, un gros potentiel, mais que je ne l'exploitais pas assez. C'est vrai que j'avais cette facheuse tendance à beaucoup trop parler et à seulement écouter quand le sujet m'intéressait. Les deux seules choses qui savaient attiser ma curiosité, c'était l'histoire et les sciences. Je trouvais le passé des Hommes tellement intéressant, et les sciences parvenaient à combler mon ennui.

Pendant longtemps j'ai voulu être chercheur dans les laboratoires. C'est à partir de mon adolescence que j'ai commencé à sérieusement me mettre au boulot pour obtenir ce que je voulais. J'étais plutôt bien parti d'ailleurs, mais ma vision de l'avenir changea dramatiquement quand j'ai eu 15 ans. Un rendez-vous banal dans une banque, où j'avais accompagné ma mère pour me passer le temps. Quelques minutes plus tard, la banque était assiégée par plusieurs types masqués et cagoulés. Un scénario qui se produisait soit disant que dans les films, et pourtant là j'en avais été témoin de mes propres yeux. Quelques secondes plus tard, un corps gisait au sol, à quelques mètres de moi. J'étais par terre, je ne pouvais rien faire. Le type avait voulu agir en héros mais s'était froidement fait tiré dessus en moins de deux. Je n'avais rien pu faire, je m'étais senti faible, et ce sentiment m'avait profondément marqué à jamais. C'est pour cela qu'après mures réflexions avec moi même, je décidai de complètement de projet pour tenter une carrière dans les forces de l'ordre.

A 18 ans j'ai commencé une formation dans l'un des commissariats londoniens. Pendant deux ans j'ai étudié minutieusement le métier et à 22 ans j'étais devenu officier.  J'avais trouvé un petit studio dans le nord ouest de la ville, pas très loin de mon lieu de travail. J'avais même obtenu ma première voiture peu de temps après ! Ma vie adulte commençait bien.

C'est seulement quelques mois après avoir soufflé ma 22ème bougie que j'ai reçu cette fameuse lettre du gouvernement. On m'a choisi pour faire parti des 500 personnes envoyées à l'autre bout de l'Espace pour coloniser une autre planète. Pendant longtemps j'ai bien cru au canular, avant que l'on finisse par m'envoyer une véritable personne pour m'interroger. Je n'ai jamais réellement su pourquoi m'avaient-ils choisi moi, sur les milliards de personnes peuplant la Terre. On m'a seulement répondu que j'étais jeune, en bonne santé, avec un casier judiciaire neutre. Finalement, je n'ai pas cherché à comprendre et j'ai fini par accepter. Pourquoi ? Parce que je savais que si je refusais, j'allais le regretter à jamais. Je devais forcément y laisser ma petite famille, avec qui les termes n'étaient pas forcément totalement bons, mais que j'aimais tout de même. Je devais aussi y laisser ma vie que je m'étais forcé de construire pendant les dernières années. Une vie banale certes, mais celle que j'ai voulue pendant longtemps.
Si je refusais, je laissais passer un de mes rêves de gosses qui, par une chance miraculeuse, avait l'opportunité de devenir réalité : celui de quitter la Terre et d'explorer de nouveaux horizons. L’opportunité était là, et je l'ai saisi.

96 ans plus tard je me suis réveillé très loin de chez moi, ayant encore du mal à réaliser qu'un temps aussi long s'était écoulé depuis le départ. Cela fait désormais quelques mois qu'on a foulé le sol de cette planète, si loin et pourtant si similaire à la Terre. On est dans un coin très forestier, avec des arbres partout et quelques points d'eau par si par là. J'essaye de m'y habituer comme je peux, car c'est encore particulièrement dur de se dire qu'on est si loin de chez soi. Pourtant, il faut que je finisse par me mettre à l'évidence, qu'ici c'est notre nouveau chez soi. Sauf que l'on a encore pleins de choses à découvrir. Pour l'instant on est enfermé dans un champ de force, pour nous protéger des dangers de l'extérieur. Des dangers auparavant insoupçonnés, qui vont finir par nous causer de véritables problèmes à l'avenir ...

Derrière l'écran :

Salut je suis un pigeon rose, je viens d'inventer ce pseudo y'a 10 secondes o/ , et j'ai 19 ans. J'ai découvert le forum grâce à PRD par hasard dans les forums science fiction. Je suis un Inventé. Je serai présent à peu près 6j/7 et je tiens à dire que le forum est MAGNIFAYQUE ! Y'a rien à dire de plus, il a l'air parfait *-*

Bonsoir à toi, ô toi magnifique O'Brien !
Dommage, t'as pas choisi le bon camp

J'espère que tu te plairas ici, mais je n'en doute pas !